Enfants dont le père était prisonnier

Les pères prisonniers envoyaient une lettre par mois et deux cartes postales. Mais ces courriers étaient parfois censurés, la police les lisait puis les découpait à grands coups de ciseaux. Les pères écrivaient dans leurs lettres qu’Anastasie était passée lorsque des lettres étaient censurées. Les familles envoyaient aux pères prisonniers des photos où ils se forçaient à sourire. Des cartes officielles étaient envoyées pour annoncer la libération des prisonniers.

La solidarité

Les familles s’aidaient beaucoup entre elles. Si l’une d’elle allait mal, ils étaient tous prêts à l’aider.

Vie de quartier : La solidarité était une chose très forte dans leur quartier : ils hébergeaient des réfugiés qui se trouvaient sur les routes ; ils mettaient des matelas par terre pour leur confort.

L’environnement

5) Les bombardements :

Pendant la guerre il y a eu d’importants bombardements ; des sirènes d’alerte avaient été mises en place pour prévenir la population, leur son était discontinu au début et continu à la fin. A ce signal, les gens, tous solidaires, descendaient dans les caves.Les bombardements avaient lieu le plus souvent la nuit ; lors de ceux-ci le ciel devenait très sombre et des bruits sourds retentissaient. A la fin, les dégâts étaient considérables et beaucoup de maisons étaient détruites. Les villes étaient souvent bombardées plusieurs fois (ex : Rouen, premier bombardement de la ville en 1942 puis le second sur son port et son pont en 1944).

Plus tard sont arrivés les « Ricains » avec leur tapis de bombes et les gens ne pouvant plus s’abriter sont devenus fatalistes.

Enfants dont le père était résistant

Dans cette famille, le père qui est communiste, a pris le maquis. Toute sa famille, restée à son domicile participait tout de même à la résistance, en hébergeant d’autres maquisards et soldats alliés.

Il fallait vivre caché car une parole pouvait avoir comme conséquence la mort . La gestapo n’hésitait pas à torturer des résistants pour les faire parler.

Dans l’histoire racontée, cette famille de résistants a été découverte puis arrêtée.

Children whose father was a prisoner

Imprisoned fathers sent about a letter a month and two postcards. But these letters were sometimes censored; the police read it and cut out pieces with scissors. In their letters, fathers wrote that Anastasie had passed when the letters were censored. The families would send the father some photos where they were forced themselves to look happy. Official cards were sent to announce the liberation of the prisoners.

 

Children with a father in the resistance

In this family, the father who was a communist , joined the clandistine resistance. The rest of the family participated in the resistance by hiding and feeding resistance fighters and allied soldiers in their house. The resistance fighters had to live hidden from view because a word out of place could easily have tragis consequences. The dreaded Gestapo didn’t hesitate to torture people to get them to speak.

In the story of this family they were arrested by the Gestapo.

Les exactions nazies

Lorsque les premières défaites des Allemands arrivèrent, la population fuyait et se cachait dans des refuges devant l’arrivée des nazis.

Sinon, ces derniers gardaient en otage une vingtaine d’hommes par village, et prenaient soin de les fusiller. Femmes et enfants qui restaient seuls témoins des pillages et assassinats du cheptel, ramassaient et inhumaient les corps des victimes.

The Nazis exactions

When the first German defeats happened, the population fled and hid when the Nazis arrived.

Otherwise, the German soldiers could take men as hostages, and often they would shoot them. The women and children, who were the only witnesses of the plundering and assassinations , collected and buried the victim’s bodies.

 

There was a great amout of solidarity between families. If there was a problème usually someone was willing to help.

Life in the neighbourhood : people helped each other a lot in their neighbourhood ; they looked after the refugees that were on the roads ; they put matresses on the ground for them to sleep on.

Bombing:

During the war there was a lot of heavy bombing; there were alarms to warn the population. The sound was discontinuous at the beginning and continuous at the end. People went down into the cellars to escape the explosions.

Bombing used to take place especially at night: the sky became very dark and muffled noise could be heard. At the end, damage was considerable and a lot of houses were destroyed.

Towns were often bombarded several times (Rouen, first bombardment of the city in 1942 then the second on its harbour and its bridge in 1944).

Later the “Yankees” arrived with their bombs and people became fatalistic.