Algérie

La première phase de l'Algérien d'immigration en France commencent en 1905, les travaux de travail de kabyle dans les raffineries et les moulins à huile de Marseille ou comme dockers ou conducteurs sur des bateaux. des centaines d'ouvriers algériens sont employées dans les mines et les usines du nord et le Pas-de-Calais, les industries de Clermont-Ferrand et le Paris. Depuis 1912, on parle au sujet d'un véritable mouvement migrateur de 4.000 à 5.000 Algériens. Dans le nord de la France c'est approximativement 1.500 kabyles qui travaillent dans les mines, pour des salaires normaux et profitants de l'application des lois sociales du moment pour les mineurs. Ils sont généralement bons adaptés par le population. Dans Paris région, ils travaillent dans bâtiment et travaux publics, industries chimiques, les raffineries de indiquent le sucre, la compagnie des trains lents, des chemins de fer et du souterrain. Ils arrangent, dans les villes et le rassemblement dans certaines zones comme Montmartre.Le mouvement migrateur accélère puisque 1913 grâce à la suppression du permis du voyage qui était alors nécessaire pour les Algériens et un compte, en 1914, approximativement 13.000 Algériens en France.

Lorsque de la première guerre mondiale, la France invite très en grande partie les ouvriers et les soldats de l'empire colonial. Ils seront alors presque 80.000 ouvriers et 175.000 soldats à venir d'Algérie. Ceux qui ne sont pas sur le visage sont utilisés dans les secteurs essentiels avec l'effort de la guerre, production de l'armement, génie, aéronautique, transport, mines. La participation des ouvriers coloniaux dans l'effort de la guerre, est identifiée et ils apprécient la sympathie du Français. Des vacances musulmanes sont célébrées en France avec une certaine ostentation et on assiste à beaucoup de mariages inter-raciaux.

Après guerre, la France rapatrient 250 000 ouvriers et soldats des colonies. À partir de 1920, l'immigration commence encore, la France, victorieuse mais ruiné par la guerre, est en partie détruit. Elle invite encore les ouvriers des colonies. Entre 1919 et 1931, on assiste à une immigration massive. Si le kabyle composant reste important parmi les immigrés algériens, d'autres, en tant que celui des habitants du nord-ouest d'Oranian gagnent du terrain. Il a lieu comme au cours de cette période de même que nés les premiers anti-impérialistes mouvements au sein de la communauté algérienne immigrée.

L'immigration algérienne a installé (1920-1939)

Après 1945, le flux migrateur commence encore, les Algériens occupent de l'emploi dans les domaines qui permettent la reconstruction de la France et la relance économique, comme les mines et le fer et l'industrie sidérurgique, mais dans également l'industrie et la construction de nouvelles infrastructures. Depuis 1947, les Algériens deviennent alors, officiellement au moins, des citoyens, appelé par l'administration du Français de musulmans de l'Algérie (FMA) et du début pour s'organiser politiquement aussi bien dans la métropole comme en Algérie. Ils ne sont pas ainsi plus des immigrés étrangers mais d'immigrés régionaux comme les bretons et des Corses avec le droit de voter, les mêmes droits et devoirs qui les autres citoyens français.Cependant, selon Daniel Lefeuvre, professeur à l'université de Paris 8, qui est l'un des grands spécialistes en Algérie française, il s'avère que l'immigration algérienne en France dans les années '50 provient de l'explosion et de la pauvreté démographiques.En effet, dans son travail cher Algérie édité en 2005, il affirme que cette immigration ne répond pas aux besoins de travail de l'économie française pendant les années de la reconstruction ou de trente les glorieuses mais bien à la situation terrible dans laquelle les populations musulmanes vivent à ce moment-là. Les ressources sont insuffisantes pour nourrir une population qui se développe très rapidement.la misère se prolonge et les Algériens sont expatrier contraint pour nourrir leurs familles. Les administrateurs de la colonie encouragent cette émigration à réduire la pression sociale. Mais la métropole est peu présentée pour accepter ces nouveaux ouvriers, à qui en n'ayant aucune formation professionnelle, ne répondez pas sur demande des compagnies.